Réparer la surface de la Terre. Les restes dans les rituels de construction au sein des villes mayas classiques (250-950 apr. J.-C.) - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Techniques et culture Année : 2016

Réparer la surface de la Terre. Les restes dans les rituels de construction au sein des villes mayas classiques (250-950 apr. J.-C.)

T. Saint-Dizier
  • Fonction : Auteur

Résumé

L’archéologie des Mayas anciens documente depuis des décennies les habitats. Dans certaines maisons et alentour, la fouille soigneuse met au jour de grandes quantités de vestiges non périssables d’occupation, dans des contextes et selon des configurations suggérant qu’ils résultent en réalité de pratiques rituelles particulières. Ce sont les témoins matériels figés de gestes rituels liés à la construction des maisons, leur reconstruction, ou leur abandon. Combiner ainsi déchets et rites reflète une conception maya de l’action humaine située dans le temps et dans l’univers, qu’il convient de décrire, puis d’interpéter dans sa complexité. On présente un cas de dispositif élaboré de cinq dépôts trouvés dans un bâtiment voûté du centre du site de La Joyanca (Petén, Guatemala).

Dates et versions

halshs-01886218 , version 1 (02-10-2018)

Identifiants

Citer

Marie-Charlotte Arnauld, T. Saint-Dizier. Réparer la surface de la Terre. Les restes dans les rituels de construction au sein des villes mayas classiques (250-950 apr. J.-C.). Techniques et culture, 2016, Réparer le monde. Excès, reste et innovation, 65-66, pp.138-149. ⟨10.4000/tc.7917⟩. ⟨halshs-01886218⟩
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