“I don’t mind”: affective positioning and English in higher education - Université de Nantes Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Etudes en didactique des langues Année : 2014

“I don’t mind”: affective positioning and English in higher education

“Ça ne me dérange pas” : le positionnement affectif et l’anglais dans l’enseignement supérieur

Résumé

This study, conducted at Nantes University, aimed to gather attitudes, including affective responses of French-speaking academic staff to their professional use of English. These academics who use English at work, spoke about their language learning histories, and described how they used English for research purposes. These responses were gathered as the Fioraso law (2013) was debated and passed. This law has had an impact on academics who are being encouraged to extend their use of English to teaching, and not just for specialist research purposes. How these speakers describe using L2 English professionally is key to this study. Affective responses to this institutional transitional period in France have given rise to rich qualitative data. The methodological tools used for this study were 118 pre-interview questionnaires, 17 semi-directed interviews and their associated mind maps as well as teacher diaries. How researchers relate to the use of English at work has been analysed according to a framework of positioning in relation to dominant institutionalised discourses and the strength of their sense of belonging to a community of practice.
Lors de cette enquête menée à la Faculté des Sciences et des Techniques de Nantes, des enseignants-chercheurs francophones ont partagé leurs sentiments vis-à-vis de l’utilisation professionnelle de l’anglais. Ces enseignants ont pu décrire un passé d’apprenants d’anglais, de producteurs d’anglais pour leur recherche et réagir à la Loi Fioraso (22 Juillet 2013) lors d’entretiens semi-directifs. Cette loi a eu un impact sur les enseignants-chercheurs puisqu’ils sont désormais encouragés à enseigner leur spécialité en anglais. La relation affective avec l’anglais, dite langue L2 prend donc une place de plus en plus importante dans la vie professionnelle des chercheurs en sciences. Un tel positionnement affectif par rapport à un contexte institutionnel en pleine transition est un terrain riche en termes de données qualitatives. Les outils méthodologiques ont été 118 questionnaires, suivis de 17 entretiens semi-guidés ainsi que des mind maps et des journaux de bords. Les réponses nuancées (telles que “ça ne me dérange pas”) mettent en évidence ce positionnement affectif par rapport à une certaine obligation d’utiliser l’anglais professionnellement. Ces interactions ont été analysées par rapport à l’échelle d’appartenance à une communauté de travail.
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Dates et versions

hal-04045476 , version 1 (24-03-2023)

Identifiants

  • HAL Id : hal-04045476 , version 1

Citer

Alexandra Reynolds. “I don’t mind”: affective positioning and English in higher education. Etudes en didactique des langues, inPress, Affect(s), 23-24, pp.173-189. ⟨hal-04045476⟩
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