, Nous tenons à remercier Anne rohfritsch, responsable des archives de l'école pour son aide. Un brouillon de cette lettre est également conservé aux archives du ministère (grec) de la, Culture, 1918.

, Nous tenons à remercier Archontoula Papoulakou pour sa diligence. 68. école française d'Athènes, Archives, 5 ADM 30 ; versée dans AGIAs sous la référence « Copie lettre Fougères à Digkas 1919 » et déjà partiellement citée par A. Farnoux, « L'enseignement de l'art antique et l'Institut d'art et d'archéologie », dans S. texier (éd.), L'Institut d'art et d'archéologie, ???????? ?????? ??????????? ??? ????????????, ????????? ??????????? ??????? ??????? ????????, ??????????? ??? ?????????? ???????????? ??????, boîte 636a, n° 51903, versé dans AGIAs sous la référence « Brouillon lettre Digkas, p.133, 1918.

, versé dans AGIAs sous la référence « Lettre Fougères à Digkas, 1919.

, Lettre du 19 (31) décembre 1918 au directeur du Musée national (????, boîte 636a, n° 51902) et courrier du 14 (27) janvier 1919 à la Direction des transports (????, boîte 636a, n° 1398), versés dans AGIAs sous les références « Instructions Digkas 1918 » et « Instructions Digkas, 1919.

L. Premier-titulaire-de-la-chaire-d'archéologie-est and G. Perrot, Ses successeurs furent Maxime Collignon, pp.1876-1900, 1900.

P. Demargne, Si les chaires disparaissent alors de l'organisation universitaire, plusieurs professeurs se sont succédé en archéologie grecque depuis le départ en retraite de Pierre Demargne, L'arrêté du 21 mars 1970 portant désignation des universités de l'Académie de Paris, vol.22, pp.1955-1971, 1971.

J. Marcadé, En 1975, Paris IV recréait quant à elle un poste en archéologie grecque à travers le recrutement de Philippe Bruneau, 1975.

. Sur-maxime-collignon and P. Voir, Bruneau, « L'archéologie grecque en Sorbonne de 1876 à, 1914.

». Deux-professeurs-d'archéologie-grecque and P. Dans, Bruneau (éd.), Georges Perrot. Maxime Collignon. Études d'archéologie grecque présentées par Ph, pp.7-43, 1992.

L. Therrien and L. , Histoire de l'art en France. Genèse d'une discipline universitaire, pp.243-249, 1998.

. Ph, . Jockey, . Collignon, ». Maxime, and P. Dans, Sénéchal et C. Barbillon (éd.), Dictionnaire critique des historiens de l'art actifs en France de la Révolution à la Première Guerre mondiale, mis en ligne le 15 décembre 2010 <www.inha.fr/spip.php?article3227>

, « Le Musée archéologique de la faculté des lettres de Bordeaux (1886) », vol.17, 2011.

G. Perrot, op. cit. (n. 89), p. 57. 95. Ph. rivé (éd.), La Sorbonne et sa reconstruction, vol.1, pp.93-95, 1987.

, Luxembourg) ou encore les réseaux d'acheminement, ainsi que l'utilisation pratique dans le cursus universitaire 99 . Il regrettait également certains choix avalisés par son mentor, Georges Perrot, tout en veillant à ne pas susciter d'incidents. Dans des notes rédigées en prévision d'un conseil facultaire, non datées mais antérieures à sa titularisation en 1900, Collignon écrivait : « Concl. Pas incident personnel. Deux questions. 1° scientifique, 2° pratique ; 1° Scientifique : Compétence pour cela. Compétition avec les inst. arch. d'étranger et de France. Lyon. Salle de travail et de cours. Vrais instituts. Moulages de Berlin et de Vienne ou de Strasbourg. Compétition écrasante pour Sorbonne. regret de constater l'infériorité définitive de la Sorbonne, Les archives de Collignon contiennent de nombreuses informations concernant les moulages : les pièces commandées, les spécialités des différents ateliers européens, les tarifs pratiqués, les provenances

. Malheureusement, En Sorbonne, les céramiques étaient exposées dans les vitrines de la Salle d'archéologie. Les objets en étaient sortis à l'occasion de ces « cours fermés », travaux pratiques où les étudiants apprenaient à observer et à décrire les « monuments originaux », comme le montre une photographie reproduite dans un ouvrage sur l'Université de Paris en 1909 101 (fig. 17). On y voit, 97, la documentation relative est beaucoup plus rare

, L'histoire de la collection de moulages a été retracée brièvement par J.-L. Martinez, « La collection de moulages : un musée pédagogique », dans S. texier (éd.), L'Institut d'art et d'archéologie, pp.93-104, 1932.

, Les archives de Collignon, partagées entre la bibliothèque de l'INHA et les Archives nationales (cf. supra n. 27), contiennent de nombreux reçus de transporteurs, lettres de commande et autres communications relatives aux moulages

, Bibliothèque de l'INHA, collections Jacques Doucet, Archives 057, fonds Maxime Collignon

L. Liard,

, Un tirage sur carte postale (9 x 14 cm) est conservé à la bibliothèque de la Sorbonne, Facultés des sciences. Faculté des lettres. École normale supérieure, p.110, 1909.

, On comprend donc le soin qui fut porté par les titulaires successifs à développer une collection universitaire, tant en monuments originaux qu'en moulages, aussi maigre fût-elle par rapport aux richesses du musée du Louvre. D'après les programmes des cours 103 , nous savons que Collignon consacra plusieurs séminaires à l'histoire de la céramique

. Grèce, Son successeur, Gustave Fougères, afficha lui aussi un réel intérêt pour la céramique. De 1921-22 à 1927-28, celui-ci consacra invariablement ses exercices et travaux pratiques à l'étude, 1884.

. C&apos;est, En témoigne encore aujourd'hui la présence des étiquettes « pastille » sur de nombreuses pièces

, De la Sorbonne à l'Institut d'art et d'archéologie Dès 1899, Collignon évoquait au sujet de l'exiguïté des espaces réservés en

. Sorbonne-«-un-emplacement-d&apos;étroites-dimensions, «. Université, and . Trouvera, hors les murs trop étroits de la Sorbonne, un emplacement assez vaste pour y loger la collection », appelant de ses voeux un généreux donateur à imiter les philanthropes américains 105 . De fait, c'est grâce à un don de 3 millions de francs de la marquise Arconati-Visconti que l'Institut d'art et d'archéologie de l'Université de Paris fut construit par l'architecte Paul Bigot entre 1924 et 1931. Gustave Fougères cosigna avec ses collègues émile Mâle et rené Schneider un Programme de construction d'un Institut d'art et siégea régulièrement au Comité de construction 106 . Le bâtiment, initialement conçu pour quatre professeurs et deux à trois cents étudiants, vol.104, pp.250-499

M. Collignon, Les plans originaux de l'Institut d'art et d'archéologie sont conservés au Centre d'archives de la Cité de l'architecture et du patrimoine, Fonds Paul Bigot (268 AA). Plusieurs séries existent, témoignant de l'évolution du projet au fil de sa réalisation, AN 20010498/49 (archives du rectorat de l, vol.37, p.132, 1899.

E. Niki, « La collection de moulages de l'Institut d'art et d'archéologie de Paris, pp.234-239, 1933.

. Fig, 18 -Paul Bigot, Institut d'histoire de l'art et d'archéologie, rue Michelet, p.1923

, Sur ces questions, nous renverrons à l'étude spécifique de A. Asselineau, « Observations sur le statut juridique des collections universitaires : le cas des vases grecs de l'Institut d'art et d'archéologie de Paris », dans M. Lagrange (éd.), Université & Histoire de l'art. Objets de mémoire, pp.1870-1970

, Le décret n° 2014-997 du 2 septembre 2014, publié au J.O. n° 0204 du 4 septembre 2014, texte n° 6, version en vigueur, ne modifie en rien l'art. 3. 115. Notons néanmoins que cela était le cas dans la version précédemment en vigueur ; en effet, le décret n° 84-431 du 6 juin 1984 « relatif au statut des enseignants-chercheurs de l'enseignement supérieur, Décret n° 2009-460 du 23 avril 2009 « fixant les dispositions statutaires communes applicables aux enseignants-chercheurs, p.7137, 2009.